Blog secondaire de Mortamon Yapi. Vous y trouverez des versions alternatives de mes contenus ainsi que divers petits bonus. Merci de votre visite !
Pages du Royaume
dimanche 10 février 2019
Blogs et autres - MortAnecdotes 226 à 300
Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.
Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225.
Anecdotes sur les critiques (suite) :
Command & Conquer – Critique :
Anecdote n° 226 : La légende de l’image où l’on voit des Orcas stationnés sur leurs Héliports est en référence à la célèbre phrase « PC Master Race ». Celle-ci est utilisée tout autant par les élitistes sur PC qui se sentent supérieurs par rapport aux joueurs sur consoles que par les personnes se moquant de ces mêmes élitistes.
Anecdote n° 227 : Le nom « PCMASTERACE » parmi les noms des scores visibles sur l’une des images de la critique reprend d’ailleurs la blague du PC Master Race.
Anecdote n° 228 : La légende de l’image du Cyberespace fait référence à la troisième vidéo du Joueur Du Grenier sur les RPG, et particulièrement au moment où Sebastien déguisé en vieil homme crie « LE FUTUUUR ! »
Anecdote n° 229 : La légende de l’image où l’on voit la mort d’un des netrunners parodie le célèbre avertissement sur les paquets de cigarettes, à savoir « fumer tue ».
Anecdote n° 230 : La légende de l’image où l’on voit l’écran de sélection de l’unité à jouer de Command & Conquer Sole Survivor est en référence à la phrase que prononce l’annonceur de Super Smash Bros. Melee dans l’écran de sélection des personnages du jeu.
Anecdote n° 231 : Le surnom « Electronic fArts » est issu d’une vidéo du même nom de la chaîne Cyndago qui se moquait d’Electronic Arts.
Anecdote n° 232 : La légende de l’image de Command & Conquer The Ultimate Collection fait référence à LJN, un éditeur de jeu vidéo très célèbre pour avoir publié de nombreux jeux d’horrible qualité.
Anecdote n° 233 : La légende de la seconde image de la version Nintendo 64 fait référence à Michael Bay, un réalisateur et producteur de cinéma très réputé pour la quantité astronomique d’explosions et de divers effets spéciaux apparaissant dans ses films.
Worms (1ère génération) – Mini-Critique :
Anecdote n° 234 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu développé par Team17.
Anecdote n° 235 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu publié par Ocean.
Anecdote n° 236 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu développé par East Point Software, à travers les portages du jeu sur Game Boy, Mega Drive, et SNES.
Anecdote n° 237 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu d’artillerie et de stratégie au tour par tour.
Anecdote n° 238 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2012, à travers le portage du jeu sur GOG.
Anecdote n° 239 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Amiga.
Anecdote n° 240 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Apple Mac, à travers le portage du jeu sur celui-ci.
Anecdote n° 241 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Game Boy, à travers le portage du jeu sur celle-ci.
Anecdote n° 242 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Mega Drive, à travers le portage du jeu sur celle-ci.
Anecdote n° 243 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Super Nintendo Entertainment System, à travers le portage du jeu sur celle-ci.
Anecdote n° 244 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Amiga CD32, à travers le portage du jeu sur celle-ci.
Anecdote n° 245 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Steam, à travers le portage de Worms United sur celui-ci.
Anecdote n° 246 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu avec de véritables noms personnalisés.
Anecdote n° 247 : Les seules versions de Worms auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, et PC. Ces versions PC sont les portages de Worms United issus de Steam et GOG.
Anecdote n° 248 : Une équipe au nom des héros de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Marteam (mélange de « Marty » et du mot anglais « team », qui signifie « équipe »), qui a pour membres Marty, Vert, Bleu, et Champis.
Anecdote n° 249 : Une équipe au nom des antagonistes de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Zombarmy (mélange de « Zombos » et du mot anglais « army », qui signifie « armée »), qui a pour membres Zombos, Gargantia, Blobor, et Scarab.
Anecdote n° 250 : Une équipe au nom des clones du Chapitre 2 de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Clones, qui a pour membres Verht, Bleuh, Champhis, et Gemax. La présence de ce dernier dans l’équipe s’explique par l’obligation d’avoir quatre vers dans le jeu, et pour indiquer que l’équipe est encore du côté des forces de Zombos.
Anecdote n° 251 : La légende de l’image du titre du jeu reprend l’une des phrases les plus connues de la saga Worms (« In coming! »).
Anecdote n° 252 : La légende de la seconde image de l’intro du jeu fait référence à la plus célèbre citation de Duke Nukem (« It’s time to kick ass and chew bubblegum, and I’m all outta gum »). Cette phrase est issue du jeu Duke Nukem 3D, mais elle apparut pour la première fois dans le film Invasion Los Angeles.
Anecdote n° 253 : La légende de l’image de l’écran titre du jeu fait référence à la célèbre phrase « War never changes » apparaissant dans l’introduction d’un bon nombre de jeux de la saga Fallout.
Anecdote n° 254 : La légende de l’image de Mars parodie les fameuses phrases « DOOM dans ton lit ! », et « DOOM dans tes chiottes ! » tirées de la vidéo de Benzaie sur la Nvidia Shield.
Anecdote n° 255 : La légende de l’image où l’on voit un ver nommé « Phillip » caché dans une carcasse de voiture fait référence à la scène la plus célèbre du film Hitman le Cobra, et particulièrement à sa réplique la plus connue (« Philippe ! Je sais où tu te caches ! Viens ici que je te bute, enculé ! »). Le plus amusant est que l’apparition de ce ver doté de ce nom dans les restes de la voiture n’était qu’une pure coïncidence. C’est donc grâce au hasard que j’ai pu sortir cette référence.
Anecdote n° 256 : La légende de l’image où l’on voit le ver nommé « Adolf Hitler » sur le point de se faire pousser dans un trou fait une référence discrète au film La Chute, en plus de faire un jeu de mots sur la prononciation du mot Führer.
Anecdote n° 257 : La légende de l’image où l’on voit mon ver au nom de Marty sur le point de se faire bombarder fait référence à la plus célèbre expression du Doc des films Retour vers le Futur (« Nom de Zeus, Marty ! »). Cela va en plus très bien avec le fait que Marty McQuinn et Marty McFly ont presque le même nom.
Anecdote n° 258 : La légende de l’image de la jaquette de la version Game Boy du jeu fait référence à la tendance d’Electronic Arts de mettre leur gros logo un peu partout dans leurs jeux, que ce soit sur les jaquettes ou dans les jeux eux-mêmes.
Anecdote n° 259 : La légende de l’image de la jaquette de la version Mega Drive parodie le vieux slogan publicitaire de Sega (« SEGA c’est plus fort que toi ! ») en le mélangeant au slogan de l’écran titre des versions SNES et Mega Drive du jeu.
Anecdote n° 260 : La légende de l’image de la jaquette de la version Jaguar se moque à travers son sous-entendu sexuel de la surutilisation de l’argument des « 64 bits » dans le marketing de la console d’Atari.
Anecdote n° 261 : La légende de l’image de la jaquette de la version Jaguar fait également référence à la Lenny Face, une célèbre émoticône fréquemment utilisée dans des contextes sexuels ou pour faire du spam.
Anecdote n° 262 : La légende de l’image du cimetière fait référence à la célèbre abréviation de la phrase « Too spooky for me » (« Trop effrayant pour moi »).
Anecdote n° 263 : La légende de l’image où l’on voit un ver s’accrocher à une caisse avec sa Corde Ninja fait référence à la variation de la phrase fétiche de Scorpion de la saga Mortal Kombat (« Get over here! »).
Anecdote n° 264 : La légende de l’image où l’on voit la Statue de la Liberté remplacée par celle d’un ver parodie le nom de la statue en la nommant « la Statue des Invertébrés », ce qui est en référence aux vers, qui appartiennent à ce groupe d’animaux.
Anecdote n° 265 : La légende de l’image où l’on voit un ver dans la publicité du jeu reprend l’expression « ouate de phoque », qui est une francisation de l’expression « what the fuck ».
Anecdote n° 266 : La légende de l’image où l’on voit un ver se faire éjecter par un Minigun fait référence au mème This is Sparta, qui est à l’origine une réplique culte du film 300. L’image en elle-même parodie la scène originale du film puisque le ver en éjecte un autre dans un trou juste derrière ce dernier.
Anecdote n° 267 : La légende de l’image de la version PC du jeu reprend les deux premiers vers du refrain de la Wormsong (versions de 1995 et 2003), l’une des quelques musiques avec des paroles dans la saga Worms.
Mini-MortaCritique - Worms (Première Génération) :
Anecdote n° 268 : Cet article est l’équivalent sur Le Royaume de Mortamon de la critique de la première génération de Worms. Son texte est quelque peu différent, les images utilisées ne sont pas les mêmes, et les habituels points positifs et points négatifs des MortaCritiques sont au rendez-vous.
Anecdote n° 269 : La légende de l’image où l’on voit un élément du décor flotter dans les airs parodie la chanson Le lion est mort ce soir.
Anecdote n° 270 : La légende de l’image où l’on voit un ver faire du saut à l’élastique reprend l’un des sons que produisent les vers du jeu dans ces mêmes situations.
Anecdote n° 271 : La légende de l’image du ver caché dans une voiture fait la même référence que l’originale, mais dans une version plus complète.
Anecdote n° 272 : La légende de l’image du ver au nom d’Adolf Hitler est une version plus explicite de la référence originale au film La Chute.
Anecdote n° 273 : Comme noté dans la légende de l’image où l’on voit la boîte de la version Saturn, Worms est mon dernier jeu à vraiment marcher sur ma Saturn.
Anecdote n° 274 : La légende de l’image où l’on voit les vers nommés « Adolf Hitler » et « Sodding Insane » (parodie de Saddam Hussein) reprend la scène la plus connue du film Inglourious Basterds où l’on voit Hitler taper sur une table tout en criant six fois successivement « Nein ! ». La citation dans la légende ne le dit que cinq fois, du fait que j’ai toujours cru jusqu’à maintenant qu’Hitler ne le prononçait que cinq fois dans la scène. J’ai notamment été induit en erreur par le nom de certaines vidéos qui m’ont fait découvrir cette séquence, comme la parodie mélangeant les « Nein ! » d’Hitler au mème « It’s over nine thousand! ».
Retour des vacances et Dragon Quest XI :
Anecdote n° 275 : Au vu de la taille de la review, et bien que ce soit un avis plutôt qu’une critique à proprement parler, cet article est d’une certaine manière le tout premier à contenir le format des micro-critiques.
Anecdote n° 276 : Ce contenu est le tout premier à combiner deux concepts d’articles différents en un seul article.
Anecdote n° 277 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé par Square Enix.
Anecdote n° 278 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé par Armor Project.
Anecdote n° 279 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu ayant deux développeurs différents.
Anecdote n° 280 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé à la fois par Square Enix et à la fois par Armor Project.
Anecdote n° 281 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu publié par Square Enix.
Anecdote n° 282 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par Square Enix.
Anecdote n° 283 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par la même entreprise.
Anecdote n° 284 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2018.
Anecdote n° 285 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 4.
Anecdote n° 286 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo Switch, à travers le futur portage Dragon Quest XI S sur celle-ci.
Anecdote n° 287 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu de rôle.
Anecdote n° 288 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu avec des contenus téléchargeables.
Anecdote n° 289 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sans spoiler.
Anecdote n° 290 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’une pétition.
Anecdote n° 291 : La seule version du jeu à laquelle j’ai pu jouer avant de réaliser la critique était la version PlayStation 4.
Mon avis sur Dragon Quest XI :
Anecdote n° 292 : Cet article est l’équivalent sur Le Royaume de Mortamon de l’article du retour des vacances et de Dragon Quest XI sur le blog principal. Il coupe toute la partie news pour ne parler que de Dragon Quest XI. De plus, l’article reprend le style des MortaCritiques en ayant son condensé des points positifs et des points négatifs du jeu.
Anecdote n° 293 : Cet article est mon tout premier à n’être rien d’autre que le partage de mon avis.
Micro-MortaCritique - Fallen Princess :
Anecdote n° 294 : La critique de Fallen Princess fut mon tout premier contenu spécialement sorti pour Halloween.
Anecdote n° 295 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu qui n’est désormais plus jouable.
Anecdote n° 296 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu développé par Ambition.
Anecdote n° 297 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu publié par Ambition.
Anecdote n° 298 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par Ambition.
Anecdote n° 299 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement sur mobile.
Anecdote n° 300 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un gacha game.
Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 301 à 375.
mercredi 6 février 2019
Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225
Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.
Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 76 à 150.
Anecdotes sur les critiques (suite) :
Rayman :
Anecdote n° 151 : Les seules versions de Rayman auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PlayStation, et Nintendo DSi. J’ai également joué à Rayman Forever (la version disponible chez GOG), Rayman Advance sur Game Boy Advance et Wii U, Rayman Classic sur Android ; ainsi qu’au portage du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. J’ai aussi brièvement testé Rayman Plus, qui est réalisé par les fans.
Anecdote n° 152 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu rétro.
Anecdote n° 153 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en version physique.
Anecdote n° 154 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en dématérialisé.
Anecdote n° 155 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui dispose de versions différentes.
Anecdote n° 156 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui n’est désormais plus disponible, à travers Rayman Classic qui n’est plus accessible depuis juillet 2018.
Anecdote n° 157 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable à un joueur.
Anecdote n° 158 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable exclusivement avec un seul joueur.
Anecdote n° 159 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur MS-DOS, à travers le portage du jeu sur le système.
Anecdote n° 160 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Digital Eclipse, à travers le portage Rayman Advance.
Anecdote n° 161 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Gameloft, à travers le portage Rayman Ultimate.
Anecdote n° 162 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Junglevision Software, à travers le portage sur Nintendo DSi.
Anecdote n° 163 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Ubisoft Paris, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 164 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une excellente note à un jeu.
Anecdote n° 165 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une très bonne note à un jeu, à travers la plupart de ses portages et de ses compilations.
Anecdote n° 166 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une bonne note à un jeu, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 167 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un chasseur est une parodie du célèbre virelangue qui commence par « Un chasseur sachant chasser ».
Anecdote n° 168 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un homme de pierre qui tire un projectile d’énergie fait référence au Hadouken, la célèbre technique emblématique de Street Fighter.
Anecdote n° 169 : La légende de l’image où l’on voit Rayman couper les cordes avec ses cheveux fait référence au mème In Soviet Russia. Celui-ci consiste à inverser tout ce qui est possible, et ce dans le cadre de la Russie Soviétique.
Anecdote n° 170 : Le mème Git Gud est référencé dans la partie qui parle du game over dans le jeu.
Anecdote n° 171 : La légende de l’image du game over fait référence au célèbre « GAME OVER YEAH! » de Sega Rally Championship.
Anecdote n° 172 : Marine-La-Trompette et son désir d’expulser les étrangers en leur soufflant dessus sont une parodie de Marine Le Pen, et notamment des plaisanteries concernant son programme anti-immigration.
Anecdote n° 173 : Joe Cheminade l’extraterrestre est une parodie de Jacques Cheminade, et notamment des plaisanteries concernant son programme de conquête spatiale.
Anecdote n° 174 : Le slogan « Pour une France forte du cul ! » est une parodie de celui de Sarkozy, « La France forte », et est très semblable à de nombreux détournements qui existent déjà.
Anecdote n° 175 : La capture d’écran où l’on voit une représentation de Rayman sur un mur est issue de cette vidéo où l’on peut voir Marine Le Pen dans la rue.
Anecdote n° 176 : La phrase « I could break the president in two with my bare hands! » et l’image allant avec qui parodie l’un des messages des développeurs sont issues du jeu Metal Gear Rising Revengeance. Il s’agit d’une des nombreuses fameuses phrases du sénateur Steven Armstrong, qui apparaît d’ailleurs sur l’image.
Anecdote n° 177 : « Nanomachines, son ! » est un mème de Metal Gear Rising Revengeance et est la phrase la plus connue du sénateur Armstrong.
Anecdote n° 178 : La légende de l’image de Rayman Designer avec sa phrase « I was Super Mario Maker before it was cool! » fait référence à une catchphrase anglo-saxonne qui parodie les hipsters.
Anecdote n° 179 : Le choix de considérer Rayman Classic comme le « 9 001ème » retour est en référence au mème « It’s over nine thousand! » Ce mème est issu de Dragon Ball Z, et plus particulièrement de la scène où Vegeta annonce d’une voix exagérée le niveau de puissance de Son Goku qui est au-delà de neuf-mille. La réplique était en plus pauvrement traduite, puisque l’originale annonçait que le niveau de puissance de Goku était au-delà de 8 000, et non pas « au-delà de neuf mille ».
Anecdote n° 180 : L’image finale où l’on voit Mr. Dark dans l’adaptation Game Boy Color et la légende « See you soon… » est un indice concernant une future critique.
Anecdote n° 181 : La phrase « See you soon… » est en référence à l’apparition cachée de Mr. Dark dans le générique de fin de la version Jaguar du jeu où il disait cette même réplique ; ce qui sous-entendait que Mr. Dark allait revenir dans un futur jeu. Cette citation va donc très bien avec l’annonce de la future critique.
TimeSplitters – Critique :
Anecdote n° 182 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler exclusivement d’un seul jeu, sans portages ou quelconques autres versions, extensions, ou jeux supplémentaires, etc.
Anecdote n° 183 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à une plateforme.
Anecdote n° 184 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement sur console.
Anecdote n° 185 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 2.
Anecdote n° 186 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à la PlayStation 2.
Anecdote n° 187 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu développé par Free Radical Studios.
Anecdote n° 188 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu édité par Eidos Interactive.
Anecdote n° 189 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu de tir à la première personne.
Anecdote n° 190 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement en version physique.
Anecdote n° 191 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à la fois en solo et à la fois en multijoueur.
Anecdote n° 192 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à plusieurs joueurs.
Anecdote n° 193 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable en coopération.
Anecdote n° 194 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut un éditeur de cartes.
Anecdote n° 195 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut une quelconque forme de personnalisation.
Anecdote n° 196 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j’ai utilisé de la rage pour me moquer de quelques défauts graves du jeu.
Anecdote n° 197 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j'ai parlé de bugs notables.
Anecdote n° 198 : La légende de l’image du défi d’escorte de Spaceways reprend un gag fréquemment utilisé par le vidéaste Benzaie qui consiste à ajouter un « /20 » après un mot, comme si ce mot exprimait une note.
MortaCritique - TimeSplitters :
Anecdote n° 199 : La MortaCritique de TimeSplitters fut la toute première critique sur Le Royaume de Mortamon.
Anecdote n° 200 : La critique de TimeSplitters fut la première à être adaptée en MortaCritique.
Anecdote n° 201 : La MortaCritique de TimeSplitters fut ma première critique à ne pas utiliser d’images. Cela est néanmoins temporaire.
Command & Conquer – Critique :
Anecdote n° 202 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu développé par Westwood Studios.
Anecdote n° 203 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu publié par Virgin Interactive.
Anecdote n° 204 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’extensions.
Anecdote n° 205 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu de stratégie en temps réel.
Anecdote n° 206 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1996, à travers les portages sur Macintosh, Saturn et PlayStation, et à travers Command & Conquer Opérations Survie.
Anecdote n° 207 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2006, à travers la compilation Command & Conquer The First Decade.
Anecdote n° 208 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2007, à travers la compilation Command & Conquer Saga.
Anecdote n° 209 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2012, à travers la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.
Anecdote n° 210 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo 64, à travers le portage du jeu sur celle-ci.
Anecdote n° 211 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran.
Anecdote n° 212 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran en plus de quelques images ne m’appartenant pas.
Anecdote n° 213 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser un GIF.
Anecdote n° 214 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu d’action et de stratégie, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.
Anecdote n° 215 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement multijoueur, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.
Anecdote n° 216 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu avec de l’online, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.
Anecdote n° 217 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement en ligne, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.
Anecdote n° 218 : Les seules versions de Command & Conquer auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PC, ainsi que les portages du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. La version PC en question est Command & Conquer Gold Bundle. J’ai également pu jouer à la version PC du jeu dans la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.
Anecdote n° 219 : La critique de Command & Conquer fut ma première où j’ai utilisé un nom personnalisé dans le jeu, comme le montre la capture d’écran où l’on voit « SAINTEPRUNE » dans les meilleurs scores. Ce nom est encore en référence à mon gimmick de la Sainte Prune.
Anecdote n° 220 : D’autres noms auraient dû être utilisés parmi les meilleurs scores figurant dans les captures d’écran de la critique. Certains étaient volontairement très inappropriés et ridicules, et devaient alimenter la critique avec quelques blagues (principalement d’humour noir). Les plus offensantes devaient être causées notamment par Marty. Parmi ces noms, on peut trouver par exemple « MORTAMON » ; « MERCI !!!!! » ; « JEVOUS AIME » ; « RAYMAN » ; « GENERAL » ; « PINGAS » ; « COMEGETSOME » ; « KAMOULOX » ; « FUCK » ; « NIKTAMER » ; « SIEG HEIL » ; ou encore « HEIL HITLER »... Je vous l’avais bien dit que c’était vraiment inapproprié ! Ils ne furent pas intégrés par manque de pertinence, et parce que certains sont potentiellement utilisables plus tard dans un contexte plus favorable. La majorité d’entre eux peut être vue parmi mes captures d’écran sur des sites comme Pinterest.
Anecdote n° 221 : En dehors de la plaisanterie extrêmement inappropriée de Marty, les noms liés à Hitler devaient faire référence à une certaine publicité controversée du jeu où l’on voyait que les précédents meilleurs scores établis dans le jeu appartenaient à certains dictateurs comme Hitler. D’ailleurs, cette publicité avait principalement fait scandale de par la présence du président Jacques Chirac parmi ces dictateurs. Sa présence était justifiée par une polémique de l’époque au sujet des essais nucléaires français, et probablement par une certaine volonté provocatrice. Je les ai finalement jugés insuffisamment pertinents dans le cadre de cette critique, et ils n’ont donc pas été intégrés à celle-ci, tout comme la pub.
Anecdote n° 222 : Du fait de la présence de son nom parmi les noms des scores annulés, le Général est donc mon premier personnage à avoir publiquement une quelconque forme d’apparition à travers de la personnalisation dans un jeu vidéo.
Anecdote n° 223 : Le nom « PINGAS » parmi les noms des scores annulés est en référence au mème éponyme issu de l’épisode Boogey-Mania du cartoon Adventures of Sonic The Hegdehog. Ce mème correspond à une phrase mal prononcée et mal entendue dans le dessin animé venant du personnage de Robotnik. La phrase était « Snooping as usual I see », mais le « ping as » fut prononcé de telle sorte qu’il s’entend presque comme « penis »... mot anglais que je n’ai absolument pas besoin de vous traduire. Le mème est à ce jour l’un des plus classiques, et l’un des plus utilisés dans les YouTube Poop.
Anecdote n° 224 : La phrase « COMEGETSOME » parmi les noms des scores annulés est en référence à la phrase la plus célèbre du Commando qui vient justement du premier Command & Conquer.
Anecdote n° 225 : Le nom « KAMOULOX » parmi les noms des scores annulés est en référence au jeu télévisé parodique créé par Kad et Olivier. Le jeu consistait en une joute verbale complètement absurde entre deux joueurs, et qui se terminait à chaque fois sur l’un des adversaires criant « Kamoulox ! » L’interjection est désormais régulièrement utilisée pour ponctuer des phrases complètement loufoques. Ce nom allait donc très bien avec les autres, qui formaient un ensemble bien improbable.
Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 226 à 300.
mardi 29 janvier 2019
Blogs et autres - MortAnecdotes 76 à 150
Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.
Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 1 à 75.
Anecdotes sur Le Journal Du 13 (suite) :
Anecdote n° 76 : Devilia est mon premier personnage à obtenir un rôle majeur dans un de mes articles qui ne soit pas une fiction.
Anecdote n° 77 : Devilia est mon premier personnage à avoir interagi avec mon incarnation fictive.
Anecdote n° 78 : Devilia est mon premier personnage à être apparu dans d’anciens articles à travers des mises à jour.
Anecdote n° 79 : Devilia est mon tout premier personnage à être apparu sur les réseaux sociaux.
Anecdotes sur les critiques :
Rayman :
Anecdote n° 81 : L’article Rayman est mon contenu le plus long publié en 2018, avec plus de 26 600 mots.
Anecdote n° 82 : La critique de Rayman fut mon premier article à dépasser les 25 000 mots.
Anecdote n° 83 : La critique de Rayman fut mon premier contenu public à dépasser les 25 000 mots.
Anecdote n° 84 : L’article Rayman fut celui qui a généré le plus de vues sur le blog principal en 2018, avec 105 vues.
Anecdote n° 85 : Rayman sur Saturn fut le tout premier jeu auquel j’ai pu jouer dans ma vie, et est ainsi le jeu ayant le plus d’importance pour moi.
Anecdote n° 86 : La critique de Rayman est la seule critique que j’ai pu concevoir dont le but principal n’était pas de critiquer un jeu, mais de lui rendre honneur ainsi qu’à ses créateurs.
Anecdote n° 87 : La critique de Rayman est donc mon premier contenu public à promouvoir d’autres créateurs.
Anecdote n° 88 : L’article Rayman fut mon premier article à utiliser des images qui ne m’appartiennent pas.
Anecdote n° 89 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Ubisoft Montpellier.
Anecdote n° 90 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu français.
Anecdote n° 91 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu publié par Ubisoft.
Anecdote n° 92 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu de plate-formes.
Anecdote n° 93 : La critique de Rayman fut ma première à parler de portages.
Anecdote n° 94 : La critique de Rayman fut ma première à parler de compilations.
Anecdote n° 95 : La critique de Rayman fut ma première à parler de jeux supplémentaires.
Anecdote n° 96 : La critique de Rayman fut ma première à parler de jeux fanmade.
Anecdote n° 97 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1995.
Anecdote n° 98 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu multi-plateforme.
Anecdote n° 99 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PC.
Anecdote n° 100 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur console.
Anecdote n° 101 : La critique de Rayman fut ma première à parler de prototypes.
Anecdote n° 102 : La critique de Rayman fut ma première à présenter des codes de triche.
Anecdote n° 103 : L’article Rayman fut mon tout premier à entrer à la fois dans la catégorie Critiques, et à la fois dans la sous-catégorie Critiques de jeux.
Anecdote n° 104 : Une erreur concernant les musiques du jeu sur Atari Jaguar fut corrigée grâce à Rémi Gazel qui a pu voir la critique.
Anecdote n° 105 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1997, à travers la compilation Rayman Gold.
Anecdote n° 106 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1998, à travers la compilation Rayman 100 niveaux.
Anecdote n° 107 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1999, à travers la compilation Rayman Collector.
Anecdote n° 108 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2000, à travers la compilation Rayman Platin Collection.
Anecdote n° 109 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2001, à travers le portage Rayman Advance.
Anecdote n° 110 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2003, à travers le portage Rayman Ultimate.
Anecdote n° 111 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2005, à travers la compilation Rayman 3-Pack.
Anecdote n° 112 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2008, à travers le portage de Rayman sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3.
Anecdote n° 113 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2009, à travers le portage de Rayman sur Nintendo DSi.
Anecdote n° 114 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2011, à travers le portage de Rayman sur le PlayStation Store de la PlayStation Vita.
Anecdote n° 115 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2013, à travers la deuxième édition de la compilation Rayman Collection.
Anecdote n° 116 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2015, à travers la deuxième édition de la compilation Rayman Collection.
Anecdote n° 117 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2016, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 118 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2017, à travers le portage de Rayman sur le Nintendo eShop de la Wii U.
Anecdote n° 119 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Atari Jaguar.
Anecdote n° 120 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation, à travers le portage du jeu sur PS1.
Anecdote n° 121 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Saturn, à travers le portage du jeu sur Sega Saturn.
Anecdote n° 122 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur console portable, à travers divers portages du jeu.
Anecdote n° 123 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Game Boy Advance, à travers le portage Rayman Advance.
Anecdote n° 124 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Pocket PC, à travers le portage Rayman Ultimate.
Anecdote n° 125 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation Portable, à travers le portage du jeu sur le PlayStation Store de la PSP.
Anecdote n° 126 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 3, à travers le portage du jeu sur le PlayStation Store de la PS3.
Anecdote n° 127 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur le PlayStation Store, à travers plusieurs portages du jeu sur celui-ci.
Anecdote n° 128 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur mobile, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 129 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur smartphone, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 130 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur iPhone, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 131 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Android, à travers le portage Rayman Classic.
Anecdote n° 132 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur GOG.com, à travers le portage de Rayman Forever disponible sur la plateforme.
Anecdote n° 133 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Uplay, à travers le portage de Rayman Forever disponible sur la plateforme.
Anecdote n° 134 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo DSi, à travers le portage du jeu sur le DSiWare.
Anecdote n° 135 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation Vita, à travers le portage du jeu sur le PlayStation Store de la PS Vita.
Anecdote n° 136 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible à la fois en version physique et à la fois en dématérialisé.
Anecdote n° 137 : La critique de Rayman fut mon premier contenu à utiliser mon gimmick des moqueries sur Electronic Arts. Cette habitude de critiquer aussi négativement cette entreprise est issue de mon aversion pour ses pratiques, et notamment pour sa fâcheuse tendance à détruire des studios de développement de jeux vidéos et donc leurs jeux. L’entreprise est d’ailleurs régulièrement reconnue comme l’une des pires sociétés des États-Unis, et de très nombreux joueurs la considèrent souvent actuellement comme étant la plus cupide et la plus détestable. Les insultes sur EA sont donc devenues un gag récurrent de mes critiques, et de certains autres de mes contenus.
Anecdote n° 138 : La blague dans la légende de l’image de Michel Ancel fait référence à la marque Ancel portant le même nom que lui.
Anecdote n° 139 : La légende de l’image de l’explosion déclenchée par Mr. Dark fait référence à Nuclear Gandhi, un mème concernant l’incarnation vidéoludique de Gandhi dans la saga de jeux Civilization. Dans cette saga, Gandhi est effectivement très réputé pour sa grande agressivité originellement causée par un bug dans les premiers jeux, mais qui fut reprise dans les jeux suivants en guise de blague de la part des développeurs. Cette hostilité exagérée poussait Gandhi à très souvent recourir à la bombe atomique, d’où le surnom de Nuclear Gandhi.
Anecdote n° 140 : La légende de l’image où l’on voit Rayman obtenir des tings produisant une certaine mélodie est évidemment en référence à la célèbre chanson Au clair de la lune. C’est d’ailleurs cette musique qui est imitée par les bruitages des tings à ce moment dans le jeu.
Anecdote n° 141 : La légende de l’image du Double Power fait référence à la version anglaise de l’hymne de la Team Rocket dans la série télévisée Pokémon.
Anecdote n° 142 : La légende de l’image où l’on voit Rayman faire l’hélicoptère avec ses cheveux contient une référence à l’hélicobite, qui est... presque exactement ce que son nom suggère.
Anecdote n° 143 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un poisson à dents est une référence au mème des flashbacks de guerre. Et plus particulièrement à la guerre du Vietnam souvent utilisée dans ce mème.
Anecdote n° 144 : La légende de l’image où l’on voit Rayman pourchassé par Mr. Stone parodie le surnom du yéti, l’abominable homme des neiges.
Anecdote n° 145 : La légende de l’image où l’on voit Mr. Stone vaincu fait référence au mème des trollfaces. Effectivement, Mr. Stone à une tête très semblable aux trollfaces lors de ce bref moment dans le jeu.
Anecdote n° 146 : La légende de l’image où l’on voit Rayman éviter les cocottes de Space Mama fait référence aux cocottes de la saga The Legend of Zelda. Cocottes célèbres pour le danger qu’elles représentent une fois provoquées.
Anecdote n° 147 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par les rayons lasers de Space Mama fait référence au mème « No, God! Please No! », dont la fameuse réplique est issue de la série américaine The Office.
Anecdote n° 148 : La phrase « Ne jamais réveiller un scorpion endormi » dans la légende de l’image où l’on voit Rayman réveiller Skops est en référence à l’un des noms de la musique du même boss (Never Wake a Sleeping Scorpion).
Anecdote n° 149 : La légende de l’image où l’on voit Rayman trouver une prune fait référence à la Sainte Pelle et à la Sainte Patate, deux gags récurrents de l’émission What The Cut !?. La phrase finale parodie d’ailleurs la réplique « Louée soit la Sainte Pelle ! » issue de l’épisode 32 de What The Cut.
Anecdote n° 150 : La légende de l’image où l’on voit Rayman trouver une prune fait surtout référence à la Sainte Prune, qui est ma propre parodie de la Sainte Pelle et de la Sainte Patate. Cette parodie qui utilise à la place les prunes de la saga Rayman est un running gag de ma création que j’ai notamment utilisée sur la Rayman Pirate Community.
Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225.
vendredi 25 janvier 2019
Blogs et autres - MortAnecdotes 1 à 75
Attention, il est conseillé de découvrir l’intégralité des deux blogs avant de lire ces anecdotes.
Lien vers les anecdotes précédentes : MortAnecdotes 0.
Anecdotes sur les blogs :
Anecdote n° 1 : Ce blog est le tout premier site web que j’ai pu créer sur Internet.
Anecdote n° 2 : Le blog principal fut créé le 28 mai, soit quelques jours avant ma date d’anniversaire qui est le 2 juin.
Anecdote n° 3 : L’utilisation fréquente de rouge sur mon blog est due au fait que le rouge est ma couleur préférée.
Anecdote n° 4 : Le choix de la palette de couleur obscure vient de ma préférence pour les sombres thématiques.
Anecdote n° 5 : Il en va de même pour la palette de couleur sur Le Royaume de Mortamon. L’utilisation fréquente du vert et du noir là-bas s’explique également par le fait que ce sont mes couleurs favorites avec le rouge.
Anecdote n° 6 : Mon goût pour les sombres thématiques explique aussi pourquoi mes icônes et diverses bannières prennent un style quelque peu démonique.
Anecdote n° 7 : Ces mêmes images sont fondées sur le personnage que j’ai créé dont est issu mon pseudonyme.
Anecdote n° 8 : Le Royaume de Mortamon est le premier à vraiment se fonder sur l’un de mes personnages. En effet, son nom n’a pas pour but d’évoquer mon pseudonyme, mais celui d’un de mes futurs personnages.
Anecdote n° 9 : Mon pseudonyme est un mélange entre le nom d’un de mes personnages les plus importants et entre mon nom de famille. Le nom de famille fut simplement ajouté pour que je puisse être reconnaissable.
Anecdote n° 10 : En dehors de la ressemblance avec le design du personnage dont est issu mon pseudonyme, la quasi-totalité des images créées pour mon blog n’a pas été pensée avec la moindre signification particulière. Leur apparence n’est que le résultat d’un choix esthétique.
Anecdote n° 11 : De nombreuses bannières sont dérivées des logos de sites comme Facebook ou Twitter. Celles-ci ont surtout été créées pour servir de bannière sur ces mêmes sites.
Anecdote n° 12 : Le premier blog aurait dû commencer bien plus tard. S’il fut créé effectivement d’avance tout comme mes profils sur quelques réseaux sociaux, il aurait dû commencer vers fin juin, ou préférablement en septembre. Finalement, dans une volonté d’obtenir des critiques sur mes créations ainsi qu’un peu de visibilité, le blog devint actif dès début juin. En fin de compte, je considère que ce fut une erreur, puisque j’ai eu bien trop de difficulté à tenir le rythme de travail avec à la fois mes romans et mes fictions, et surtout le blog.
Anecdote n° 13 : Le chiffre 13 est fréquemment utilisé pour bien des choses comme les dates de sortie de certains articles, car ce chiffre est mon préféré.
Anecdote n° 14 : Le chiffre 6 est lui aussi très utilisé comme j’y suis également beaucoup attaché.
Anecdote n° 15 : Le chiffre 8 est également assez souvent utilisé du fait de mon attachement à celui-ci.
Anecdote n° 16 : La première année du blog eut une cadence assez lente. Ceci s’explique notamment par mon manque d’habitude de travailler activement sur une plateforme publique, ainsi que par deux majeurs contretemps que furent mon apprentissage de la conduite et des maladies. La recrudescence de ces dernières peut s’expliquer par le stress bien plus important qu’à la normale, puisque je me suis beaucoup mis la pression pour être aussi régulier que possible sur le blog.
Anecdote n° 17 : Mai fut le mois de 2018 avec le moins de vues sur le blog principal, avec 12 vues issues de 3 visiteurs. Il est suivi par octobre, qui généra 117 vues issues de 62 visiteurs.
Anecdote n° 18 : Le jour du record de vues sur le blog principal en 2018 est le 4 juin. Ce jour-là, 253 vues furent générées par 61 visiteurs différents.
Anecdote n° 19 : Le 4 juin est également le record absolu du nombre de commentaires en un seul jour pendant 2018 sur le blog principal. 6 commentaires furent postés lors de ce jour.
Anecdote n° 20 : Juin fut le mois de 2018 avec le plus de vues sur le blog principal, avec 711 vues issues de 125 visiteurs, et une moyenne de 24 vues par jour.
Anecdote n° 21 : Mai et juillet furent les mois de 2018 avec le moins de mentions j’aime, puisque qu’ils n’ont en reçus aucune.
Anecdote n° 22 : Août fut le mois de 2018 avec le plus de commentaires sur le blog principal, avec 9 commentaires.
Anecdote n° 23 : Novembre fut le mois de 2018 avec le plus de mentions j’aime. 12 mentions j’aime furent reçues au cours de ce mois.
Anecdote n° 24 : Juin, octobre, et novembre furent les mois de 2018 avec le plus de nouveaux abonnés sur le blog principal, avec 4 nouveaux abonnés sur chacun de ces mois.
Anecdote n° 25 : Décembre fut le mois de 2018 qui a reçu le moins de commentaires, puisqu’il n’en a reçu aucun.
Anecdote n° 26 : La France fut le pays qui généra le plus de vues en 2018 sur le blog principal, avec 1 864 vues. Elle est suivie par les États-Unis, qui ont généré 116 vues.
Anecdote n° 27 : Le constat est le même sur Le Royaume de Mortamon où ces deux pays furent ceux qui ont généré le plus de vues en 2018.
Anecdote n° 28 : L’Israël, Singapour, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, la Corée du Sud, le Japon, la Russie, et la Martinique furent les pays et la région qui générèrent le moins de vues en 2018 sur le blog principal. Ils n’ont généré qu’une vue.
Anecdote n° 29 : La Martinique est celle qui a généré le moins de vues en 2018 sur Le Royaume de Mortamon, avec 3 vues.
Anecdote n° 30 : Facebook fut la plus grande source de ces vues en 2018.
Anecdote n° 31 : Le blog principal fut d’abord connecté à mon profil Facebook où il pouvait partager automatiquement mes articles. Ce ne fut plus le cas en août 2018 quand un changement de politique de la part de Facebook interdit la connexion de WordPress.com aux profils Facebook. Le blog principal fut ainsi ensuite connecté à la page Facebook.
Anecdote n° 32 : Le blog principal était connecté à Path où il y partageait automatiquement les articles qui je publiais. Ce n’est plus le cas depuis le 18 octobre 2018, quand le réseau social ferma ses portes définitivement.
Anecdote n° 33 : Le premier plan de WordPress.com qui fut utilisé pour le blog principal était le Plan Gratuit.
Anecdote n° 34 : Avant de passer au Plan Personnel sur le blog principal, le nom de domaine du blog était « Mortamonyapi.wordpress.com ».
Anecdotes sur les pages :
Anecdote n° 35 : Juillet fut le mois de 2018 avec le plus de nouvelles pages sur le blog principal. 6 pages furent créées pendant ce même mois.
Anecdote n° 36 : Les pages Accueil, Articles, À propos, et Contact furent les seules pages à être créées automatiquement.
Anecdote n° 37 : Les pages Galerie et Me soutenir sont les pages qui ont généré le moins de vues sur le blog principal en 2018, avec une seule vue.
Anecdote n° 38 : Les pages Galerie et Me soutenir sont les contenus qui ont généré le moins de vues sur le blog principal en 2018, avec une seule vue.
Accueil :
Anecdote n° 39 : Accueil fut la page qui a généré le plus de vues sur le blog principal en 2018, avec 562 vues.
Anecdote n° 40 : Accueil fut le contenu qui a généré le plus de vues sur le blog principal en 2018.
Anecdote n° 41 : Accueil fut la première page à recevoir une mise à jour.
Anecdote n° 42 : Accueil fut le premier contenu à recevoir une mis à jour.
Articles :
Anecdote n° 43 : La page Articles dispose d’une forme statique qui ne peut être vue uniquement par les administrateurs et les éditeurs. Elle fut imitée ici : Le Point - Mai 2018, et une capture d’écran de son apparence dans l’éditeur fut postée ici : Le Point - Année 2018.
Liens :
Anecdote n° 44 : Liens fut la première page à utiliser des hyperliens.
Portail :
Anecdote n° 45 : Portail fut la page qui a généré le plus de vues sur Le Royaume de Mortamon en 2018.
Anecdote n° 46 : Portail fut le contenu qui a généré le plus de vues sur Le Royaume de Mortamon en 2018.
Anecdote n° 47 : La page Portail est l’équivalent de la page Accueil du blog principal.
Accueil :
Anecdote n° 48 : La page Accueil du Royaume de Mortamon est l’équivalent de la page Articles du blog principal.
Soutien :
Anecdote n° 49 : La page Soutien est la page qui a généré le moins de vues sur Le Royaume de Mortamon en 2018.
Anecdote n° 50 : La page Soutien est le contenu qui a généré le moins de vues sur Le Royaume de Mortamon en 2018.
Anecdotes sur les articles :
Anecdote n° 51 : Juin fut le mois de 2018 avec le plus de nouveaux articles sur le blog principal. 11 articles sortirent pendant ce même mois.
Anecdote n° 52 : Le 31 juillet fut le jour de 2018 avec le plus de nouveaux articles sur le blog principal. 5 articles sortirent lors de ce même jour.
Anecdote n° 53 : En prenant en compte les deux blogs, septembre fut le mois où sortirent le plus d’articles en 2018. En effet, il y eut 5 articles sur le blog principal, et 8 articles sur Le Royaume de Mortamon, soit 13 articles.
Anecdote n° 54 : Tous les articles du blog principal n’ont jamais plus de 15 catégories et mots-clés au total, et ont le plus souvent 2 catégories et 12 mots-clés. En plus d’éviter d’utiliser des mots-clés et des catégories inutiles, ce choix est dû au fait que les articles qui ont plus de 15 catégories et mots-clés n’apparaissent pas dans le Lecteur WordPress.
Anecdote n° 55 : La plupart des catégories et des sous-catégories du blog principal ne sont pas réellement les mêmes que les originales. Effectivement, une bonne partie d’entre elles furent supprimées puis recréées en décembre 2018 à la suite d’un bug qui m’y aura forcé. Ce bug est survenu à cause de la suppression de mots-clés qui portaient le même nom que certaines catégories.
Anecdote n° 56 : Dans un souci d’esthétique, les mots-clés ne sont pas affichés dans les articles du blog principal. Les mots-clés les plus vus sont tout de même affichés dans un widget qui apparaît sur certaines pages comme Navigation, et ils sont tous visibles dans le Lecteur WordPress.
Anecdote n° 57 : La majorité des mots-clés du blog principal étaient autrefois presque identiques aux catégories. Ceci changea en décembre 2018, quand j’ai modifié la quasi-totalité des mots-clés du blog.
Anecdote n° 58 : Le Royaume de Mortamon n’a pas de catégories à proprement parler, et utilise donc à la place quelques libellés précis. Restant tout de même des libellés, ceux-ci sont bien plus permissifs que les catégories du blog principal.
Anecdotes sur les fictions :
L’Aventure de Marty - Chapitre 1 :
Anecdote n° 59 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut le premier article à avoir reçu une mention j’aime.
Anecdote n° 60 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut le premier article à disposer d’images autres que son image à la une.
Anecdote n° 61 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu sur les blogs à disposer d’images autres que l’image à la une.
Anecdote n° 62 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier article à utiliser des photos.
Anecdote n° 63 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu sur les blogs à utiliser des photos.
Anecdote n° 64 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier article à dépasser les 10 000 mots, avec près de 12 900 mots.
Anecdote n° 65 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu public à dépasser les 10 000 mots.
Anecdotes sur Le Journal Du 13 :
Anecdote n° 59 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut le premier article à avoir reçu une mention j’aime.
Anecdote n° 60 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut le premier article à disposer d’images autres que son image à la une.
Anecdote n° 61 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu sur les blogs à disposer d’images autres que l’image à la une.
Anecdote n° 62 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier article à utiliser des photos.
Anecdote n° 63 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu sur les blogs à utiliser des photos.
Anecdote n° 64 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier article à dépasser les 10 000 mots, avec près de 12 900 mots.
Anecdote n° 65 : L’Aventure de Marty - Chapitre 1 fut mon premier contenu public à dépasser les 10 000 mots.
Anecdote n° 66 : La catégorie du JD13 fut créée lors du 13 décembre 2018, soit le même jour où Devilia (son personnage principal) fut pleinement introduite sur le blog. C’est également un 13, comme le chiffre emblématique de cette future série.
Anecdote n° 67 : Le Journal Du 13 fut mentionné pour la toute première fois sur l’article Mes projets annulés.
Anecdote n° 68 : Le Journal Du 13 existait déjà par le passé, mais ne fut offert qu’à un public extrêmement limité au format papier et plus rarement par e-mail. Il était bien moins qualitatif et bien moins original que ce qu’il deviendra sur les blogs. Plus d’informations peuvent être lus sur les anciennes versions dans l’article Mes projets annulés.
Anecdote n° 69 : Devilia est apparue pour la toute première fois lors du 13 novembre, à la fin de la critique de Dungeon Keeper. C’est donc mon tout premier personnage à être complètement inconnu lors de sa première apparition.
Anecdote n° 70 : En 2018, Devilia est mon seul personnage inédit -autre que moi-même, et le personnage inconnu qui est apparu dans Le Point de décembre 2018- à ne pas être un jouet. Bien sûr, c’est sans prendre en compte des entités comme le Gemax qui ne sont pas réellement des jouets, mais sont pourtant considérés comme tels.
Anecdote n° 71 : En mettant de côté Gargantia qui est une bête, et la fille inconnue obèse qui est apparue dans Le Point de décembre 2018, Devilia est le seul personnage féminin que j’ai introduit en 2018.
Anecdote n° 72 : Ainsi, Devilia est le tout premier véritable personnage féminin que j’ai pu introduire.
Anecdote n° 73 : Devilia est également le premier personnage humain -autre que moi-même- que j’ai pu introduire. Marty n’est pas pris en compte, car il est un jouet, bien qu’il représente pourtant un être humain.
Anecdote n° 74 : Bien que ses capacités n’ont pas été encore pleinement montrées, Devilia fut mon personnage le plus puissant en 2018. Cela se fait en prenant en compte que les personnages de L’Aventure de Marty sont des jouets minuscules, et que leur puissance devient insignifiante face à celles des personnages des univers normaux. Gargantia et Zombos seraient sinon les plus puissants.
Anecdote n° 75 : Devilia est mon tout premier personnage à apparaître avant même son univers.
Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 76 à 150.
Inscription à :
Articles (Atom)
Merci de votre lecture !
N'hésitez pas à vous abonner pour être averti de la sortie des prochains contenus, et laissez un commentaire si vous le désirez pour me faire part de votre avis !