mercredi 6 février 2019

Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225


Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.

Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 76 à 150.

Anecdotes sur les critiques (suite) :

Rayman :

Anecdote n° 151 : Les seules versions de Rayman auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PlayStation, et Nintendo DSi. J’ai également joué à Rayman Forever (la version disponible chez GOG), Rayman Advance sur Game Boy Advance et Wii U, Rayman Classic sur Android ; ainsi qu’au portage du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. J’ai aussi brièvement testé Rayman Plus, qui est réalisé par les fans.

Anecdote n° 152 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu rétro.

Anecdote n° 153 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en version physique.

Anecdote n° 154 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en dématérialisé.

Anecdote n° 155 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui dispose de versions différentes.

Anecdote n° 156 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui n’est désormais plus disponible, à travers Rayman Classic qui n’est plus accessible depuis juillet 2018.

Anecdote n° 157 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable à un joueur.

Anecdote n° 158 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable exclusivement avec un seul joueur.

Anecdote n° 159 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur MS-DOS, à travers le portage du jeu sur le système.

Anecdote n° 160 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Digital Eclipse, à travers le portage Rayman Advance.

Anecdote n° 161 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Gameloft, à travers le portage Rayman Ultimate.

Anecdote n° 162 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Junglevision Software, à travers le portage sur Nintendo DSi.

Anecdote n° 163 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Ubisoft Paris, à travers le portage Rayman Classic.

Anecdote n° 164 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une excellente note à un jeu.

Anecdote n° 165 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une très bonne note à un jeu, à travers la plupart de ses portages et de ses compilations.

Anecdote n° 166 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une bonne note à un jeu, à travers le portage Rayman Classic.

Anecdote n° 167 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un chasseur est une parodie du célèbre virelangue qui commence par « Un chasseur sachant chasser ».

Anecdote n° 168 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un homme de pierre qui tire un projectile d’énergie fait référence au Hadouken, la célèbre technique emblématique de Street Fighter.

Anecdote n° 169 : La légende de l’image où l’on voit Rayman couper les cordes avec ses cheveux fait référence au mème In Soviet Russia. Celui-ci consiste à inverser tout ce qui est possible, et ce dans le cadre de la Russie Soviétique.

Anecdote n° 170 : Le mème Git Gud est référencé dans la partie qui parle du game over dans le jeu.

Anecdote n° 171 : La légende de l’image du game over fait référence au célèbre « GAME OVER YEAH! » de Sega Rally Championship.

Anecdote n° 172 : Marine-La-Trompette et son désir d’expulser les étrangers en leur soufflant dessus sont une parodie de Marine Le Pen, et notamment des plaisanteries concernant son programme anti-immigration.

Anecdote n° 173 : Joe Cheminade l’extraterrestre est une parodie de Jacques Cheminade, et notamment des plaisanteries concernant son programme de conquête spatiale.

Anecdote n° 174 : Le slogan « Pour une France forte du cul ! » est une parodie de celui de Sarkozy, « La France forte », et est très semblable à de nombreux détournements qui existent déjà.

Anecdote n° 175 : La capture d’écran où l’on voit une représentation de Rayman sur un mur est issue de cette vidéo où l’on peut voir Marine Le Pen dans la rue.

Anecdote n° 176 : La phrase « I could break the president in two with my bare hands! » et l’image allant avec qui parodie l’un des messages des développeurs sont issues du jeu Metal Gear Rising Revengeance. Il s’agit d’une des nombreuses fameuses phrases du sénateur Steven Armstrong, qui apparaît d’ailleurs sur l’image.

Anecdote n° 177 : « Nanomachines, son ! » est un mème de Metal Gear Rising Revengeance et est la phrase la plus connue du sénateur Armstrong.

Anecdote n° 178 : La légende de l’image de Rayman Designer avec sa phrase « I was Super Mario Maker before it was cool! » fait référence à une catchphrase anglo-saxonne qui parodie les hipsters.

Anecdote n° 179 : Le choix de considérer Rayman Classic comme le « 9 001ème » retour est en référence au mème « It’s over nine thousand! » Ce mème est issu de Dragon Ball Z, et plus particulièrement de la scène où Vegeta annonce d’une voix exagérée le niveau de puissance de Son Goku qui est au-delà de neuf-mille. La réplique était en plus pauvrement traduite, puisque l’originale annonçait que le niveau de puissance de Goku était au-delà de 8 000, et non pas « au-delà de neuf mille ».

Anecdote n° 180 : L’image finale où l’on voit Mr. Dark dans l’adaptation Game Boy Color et la légende « See you soon… » est un indice concernant une future critique.

Anecdote n° 181 : La phrase « See you soon… » est en référence à l’apparition cachée de Mr. Dark dans le générique de fin de la version Jaguar du jeu où il disait cette même réplique ; ce qui sous-entendait que Mr. Dark allait revenir dans un futur jeu. Cette citation va donc très bien avec l’annonce de la future critique.

TimeSplitters – Critique :

Anecdote n° 182 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler exclusivement d’un seul jeu, sans portages ou quelconques autres versions, extensions, ou jeux supplémentaires, etc.

Anecdote n° 183 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à une plateforme.

Anecdote n° 184 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement sur console.

Anecdote n° 185 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 2.

Anecdote n° 186 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à la PlayStation 2.

Anecdote n° 187 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu développé par Free Radical Studios.

Anecdote n° 188 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu édité par Eidos Interactive.

Anecdote n° 189 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu de tir à la première personne.

Anecdote n° 190 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement en version physique.

Anecdote n° 191 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à la fois en solo et à la fois en multijoueur.

Anecdote n° 192 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à plusieurs joueurs.

Anecdote n° 193 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable en coopération.

Anecdote n° 194 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut un éditeur de cartes.

Anecdote n° 195 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut une quelconque forme de personnalisation.

Anecdote n° 196 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j’ai utilisé de la rage pour me moquer de quelques défauts graves du jeu.

Anecdote n° 197 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j'ai parlé de bugs notables.

Anecdote n° 198 : La légende de l’image du défi d’escorte de Spaceways reprend un gag fréquemment utilisé par le vidéaste Benzaie qui consiste à ajouter un « /20 » après un mot, comme si ce mot exprimait une note.

MortaCritique - TimeSplitters :

Anecdote n° 199 : La MortaCritique de TimeSplitters fut la toute première critique sur Le Royaume de Mortamon.

Anecdote n° 200 : La critique de TimeSplitters fut la première à être adaptée en MortaCritique.

Anecdote n° 201 : La MortaCritique de TimeSplitters fut ma première critique à ne pas utiliser d’images. Cela est néanmoins temporaire.

Command & Conquer – Critique :

Anecdote n° 202 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu développé par Westwood Studios.

Anecdote n° 203 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu publié par Virgin Interactive.

Anecdote n° 204 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’extensions.

Anecdote n° 205 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu de stratégie en temps réel.

Anecdote n° 206 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1996, à travers les portages sur Macintosh, Saturn et PlayStation, et à travers Command & Conquer Opérations Survie.

Anecdote n° 207 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2006, à travers la compilation Command & Conquer The First Decade.

Anecdote n° 208 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2007, à travers la compilation Command & Conquer Saga.

Anecdote n° 209 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2012, à travers la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.

Anecdote n° 210 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo 64, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 211 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran.

Anecdote n° 212 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran en plus de quelques images ne m’appartenant pas.

Anecdote n° 213 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser un GIF.

Anecdote n° 214 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu d’action et de stratégie, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.

Anecdote n° 215 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement multijoueur, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.

Anecdote n° 216 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu avec de l’online, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.

Anecdote n° 217 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement en ligne, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.

Anecdote n° 218 : Les seules versions de Command & Conquer auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PC, ainsi que les portages du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. La version PC en question est Command & Conquer Gold Bundle. J’ai également pu jouer à la version PC du jeu dans la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.

Anecdote n° 219 : La critique de Command & Conquer fut ma première où j’ai utilisé un nom personnalisé dans le jeu, comme le montre la capture d’écran où l’on voit « SAINTEPRUNE » dans les meilleurs scores. Ce nom est encore en référence à mon gimmick de la Sainte Prune.

Anecdote n° 220 : D’autres noms auraient dû être utilisés parmi les meilleurs scores figurant dans les captures d’écran de la critique. Certains étaient volontairement très inappropriés et ridicules, et devaient alimenter la critique avec quelques blagues (principalement d’humour noir). Les plus offensantes devaient être causées notamment par Marty. Parmi ces noms, on peut trouver par exemple « MORTAMON » ; « MERCI !!!!! » ; « JEVOUS AIME » ; « RAYMAN » ; « GENERAL » ; « PINGAS » ; « COMEGETSOME » ; « KAMOULOX » ; « FUCK » ; « NIKTAMER » ; « SIEG HEIL » ; ou encore « HEIL HITLER »... Je vous l’avais bien dit que c’était vraiment inapproprié ! Ils ne furent pas intégrés par manque de pertinence, et parce que certains sont potentiellement utilisables plus tard dans un contexte plus favorable. La majorité d’entre eux peut être vue parmi mes captures d’écran sur des sites comme Pinterest.

Anecdote n° 221 : En dehors de la plaisanterie extrêmement inappropriée de Marty, les noms liés à Hitler devaient faire référence à une certaine publicité controversée du jeu où l’on voyait que les précédents meilleurs scores établis dans le jeu appartenaient à certains dictateurs comme Hitler. D’ailleurs, cette publicité avait principalement fait scandale de par la présence du président Jacques Chirac parmi ces dictateurs. Sa présence était justifiée par une polémique de l’époque au sujet des essais nucléaires français, et probablement par une certaine volonté provocatrice. Je les ai finalement jugés insuffisamment pertinents dans le cadre de cette critique, et ils n’ont donc pas été intégrés à celle-ci, tout comme la pub.

Anecdote n° 222 : Du fait de la présence de son nom parmi les noms des scores annulés, le Général est donc mon premier personnage à avoir publiquement une quelconque forme d’apparition à travers de la personnalisation dans un jeu vidéo.

Anecdote n° 223 : Le nom « PINGAS » parmi les noms des scores annulés est en référence au mème éponyme issu de l’épisode Boogey-Mania du cartoon Adventures of Sonic The Hegdehog. Ce mème correspond à une phrase mal prononcée et mal entendue dans le dessin animé venant du personnage de Robotnik. La phrase était « Snooping as usual I see », mais le « ping as » fut prononcé de telle sorte qu’il s’entend presque comme « penis »... mot anglais que je n’ai absolument pas besoin de vous traduire. Le mème est à ce jour l’un des plus classiques, et l’un des plus utilisés dans les YouTube Poop.

Anecdote n° 224 : La phrase « COMEGETSOME » parmi les noms des scores annulés est en référence à la phrase la plus célèbre du Commando qui vient justement du premier Command & Conquer.

Anecdote n° 225 : Le nom « KAMOULOX » parmi les noms des scores annulés est en référence au jeu télévisé parodique créé par Kad et Olivier. Le jeu consistait en une joute verbale complètement absurde entre deux joueurs, et qui se terminait à chaque fois sur l’un des adversaires criant « Kamoulox ! » L’interjection est désormais régulièrement utilisée pour ponctuer des phrases complètement loufoques. Ce nom allait donc très bien avec les autres, qui formaient un ensemble bien improbable.

Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 226 à 300.

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