dimanche 10 février 2019

Blogs et autres - MortAnecdotes 226 à 300


Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.

Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225.

Anecdotes sur les critiques (suite) :

Command & Conquer – Critique :

Anecdote n° 226 : La légende de l’image où l’on voit des Orcas stationnés sur leurs Héliports est en référence à la célèbre phrase « PC Master Race ». Celle-ci est utilisée tout autant par les élitistes sur PC qui se sentent supérieurs par rapport aux joueurs sur consoles que par les personnes se moquant de ces mêmes élitistes.

Anecdote n° 227 : Le nom « PCMASTERACE » parmi les noms des scores visibles sur l’une des images de la critique reprend d’ailleurs la blague du PC Master Race.

Anecdote n° 228 : La légende de l’image du Cyberespace fait référence à la troisième vidéo du Joueur Du Grenier sur les RPG, et particulièrement au moment où Sebastien déguisé en vieil homme crie « LE FUTUUUR ! »

Anecdote n° 229 : La légende de l’image où l’on voit la mort d’un des netrunners parodie le célèbre avertissement sur les paquets de cigarettes, à savoir « fumer tue ».

Anecdote n° 230 : La légende de l’image où l’on voit l’écran de sélection de l’unité à jouer de Command & Conquer Sole Survivor est en référence à la phrase que prononce l’annonceur de Super Smash Bros. Melee dans l’écran de sélection des personnages du jeu.

Anecdote n° 231 : Le surnom « Electronic fArts » est issu d’une vidéo du même nom de la chaîne Cyndago qui se moquait d’Electronic Arts.

Anecdote n° 232 : La légende de l’image de Command & Conquer The Ultimate Collection fait référence à LJN, un éditeur de jeu vidéo très célèbre pour avoir publié de nombreux jeux d’horrible qualité.

Anecdote n° 233 : La légende de la seconde image de la version Nintendo 64 fait référence à Michael Bay, un réalisateur et producteur de cinéma très réputé pour la quantité astronomique d’explosions et de divers effets spéciaux apparaissant dans ses films.

Worms (1ère génération) – Mini-Critique :

Anecdote n° 234 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu développé par Team17.

Anecdote n° 235 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu publié par Ocean.

Anecdote n° 236 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu développé par East Point Software, à travers les portages du jeu sur Game Boy, Mega Drive, et SNES.

Anecdote n° 237 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu d’artillerie et de stratégie au tour par tour.

Anecdote n° 238 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2012, à travers le portage du jeu sur GOG.

Anecdote n° 239 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Amiga.

Anecdote n° 240 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Apple Mac, à travers le portage du jeu sur celui-ci.

Anecdote n° 241 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Game Boy, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 242 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Mega Drive, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 243 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Super Nintendo Entertainment System, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 244 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Amiga CD32, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 245 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Steam, à travers le portage de Worms United sur celui-ci.

Anecdote n° 246 : La critique de la première génération de Worms fut ma première à parler d’un jeu avec de véritables noms personnalisés.

Anecdote n° 247 : Les seules versions de Worms auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, et PC. Ces versions PC sont les portages de Worms United issus de Steam et GOG.

Anecdote n° 248 : Une équipe au nom des héros de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Marteam (mélange de « Marty » et du mot anglais « team », qui signifie « équipe »), qui a pour membres Marty, Vert, Bleu, et Champis.

Anecdote n° 249 : Une équipe au nom des antagonistes de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Zombarmy (mélange de « Zombos » et du mot anglais « army », qui signifie « armée »), qui a pour membres Zombos, Gargantia, Blobor, et Scarab.

Anecdote n° 250 : Une équipe au nom des clones du Chapitre 2 de L’Aventure de Marty fut créée dans le jeu pour la critique. Celle-ci est l’équipe Clones, qui a pour membres Verht, Bleuh, Champhis, et Gemax. La présence de ce dernier dans l’équipe s’explique par l’obligation d’avoir quatre vers dans le jeu, et pour indiquer que l’équipe est encore du côté des forces de Zombos.

Anecdote n° 251 : La légende de l’image du titre du jeu reprend l’une des phrases les plus connues de la saga Worms (« In coming! »).

Anecdote n° 252 : La légende de la seconde image de l’intro du jeu fait référence à la plus célèbre citation de Duke Nukem (« It’s time to kick ass and chew bubblegum, and I’m all outta gum »). Cette phrase est issue du jeu Duke Nukem 3D, mais elle apparut pour la première fois dans le film Invasion Los Angeles.

Anecdote n° 253 : La légende de l’image de l’écran titre du jeu fait référence à la célèbre phrase « War never changes » apparaissant dans l’introduction d’un bon nombre de jeux de la saga Fallout.

Anecdote n° 254 : La légende de l’image de Mars parodie les fameuses phrases « DOOM dans ton lit ! », et « DOOM dans tes chiottes ! » tirées de la vidéo de Benzaie sur la Nvidia Shield.

Anecdote n° 255 : La légende de l’image où l’on voit un ver nommé « Phillip » caché dans une carcasse de voiture fait référence à la scène la plus célèbre du film Hitman le Cobra, et particulièrement à sa réplique la plus connue (« Philippe ! Je sais où tu te caches ! Viens ici que je te bute, enculé ! »). Le plus amusant est que l’apparition de ce ver doté de ce nom dans les restes de la voiture n’était qu’une pure coïncidence. C’est donc grâce au hasard que j’ai pu sortir cette référence.

Anecdote n° 256 : La légende de l’image où l’on voit le ver nommé « Adolf Hitler » sur le point de se faire pousser dans un trou fait une référence discrète au film La Chute, en plus de faire un jeu de mots sur la prononciation du mot Führer.

Anecdote n° 257 : La légende de l’image où l’on voit mon ver au nom de Marty sur le point de se faire bombarder fait référence à la plus célèbre expression du Doc des films Retour vers le Futur (« Nom de Zeus, Marty ! »). Cela va en plus très bien avec le fait que Marty McQuinn et Marty McFly ont presque le même nom.

Anecdote n° 258 : La légende de l’image de la jaquette de la version Game Boy du jeu fait référence à la tendance d’Electronic Arts de mettre leur gros logo un peu partout dans leurs jeux, que ce soit sur les jaquettes ou dans les jeux eux-mêmes.

Anecdote n° 259 : La légende de l’image de la jaquette de la version Mega Drive parodie le vieux slogan publicitaire de Sega (« SEGA c’est plus fort que toi ! ») en le mélangeant au slogan de l’écran titre des versions SNES et Mega Drive du jeu.

Anecdote n° 260 : La légende de l’image de la jaquette de la version Jaguar se moque à travers son sous-entendu sexuel de la surutilisation de l’argument des « 64 bits » dans le marketing de la console d’Atari.

Anecdote n° 261 : La légende de l’image de la jaquette de la version Jaguar fait également référence à la Lenny Face, une célèbre émoticône fréquemment utilisée dans des contextes sexuels ou pour faire du spam.

Anecdote n° 262 : La légende de l’image du cimetière fait référence à la célèbre abréviation de la phrase « Too spooky for me » (« Trop effrayant pour moi »).

Anecdote n° 263 : La légende de l’image où l’on voit un ver s’accrocher à une caisse avec sa Corde Ninja fait référence à la variation de la phrase fétiche de Scorpion de la saga Mortal Kombat (« Get over here! »).

Anecdote n° 264 : La légende de l’image où l’on voit la Statue de la Liberté remplacée par celle d’un ver parodie le nom de la statue en la nommant « la Statue des Invertébrés », ce qui est en référence aux vers, qui appartiennent à ce groupe d’animaux.

Anecdote n° 265 : La légende de l’image où l’on voit un ver dans la publicité du jeu reprend l’expression « ouate de phoque », qui est une francisation de l’expression « what the fuck ».

Anecdote n° 266 : La légende de l’image où l’on voit un ver se faire éjecter par un Minigun fait référence au mème This is Sparta, qui est à l’origine une réplique culte du film 300. L’image en elle-même parodie la scène originale du film puisque le ver en éjecte un autre dans un trou juste derrière ce dernier.

Anecdote n° 267 : La légende de l’image de la version PC du jeu reprend les deux premiers vers du refrain de la Wormsong (versions de 1995 et 2003), l’une des quelques musiques avec des paroles dans la saga Worms.

Mini-MortaCritique - Worms (Première Génération) :

Anecdote n° 268 : Cet article est l’équivalent sur Le Royaume de Mortamon de la critique de la première génération de Worms. Son texte est quelque peu différent, les images utilisées ne sont pas les mêmes, et les habituels points positifs et points négatifs des MortaCritiques sont au rendez-vous.

Anecdote n° 269 : La légende de l’image où l’on voit un élément du décor flotter dans les airs parodie la chanson Le lion est mort ce soir.

Anecdote n° 270 : La légende de l’image où l’on voit un ver faire du saut à l’élastique reprend l’un des sons que produisent les vers du jeu dans ces mêmes situations.

Anecdote n° 271 : La légende de l’image du ver caché dans une voiture fait la même référence que l’originale, mais dans une version plus complète.

Anecdote n° 272 : La légende de l’image du ver au nom d’Adolf Hitler est une version plus explicite de la référence originale au film La Chute.

Anecdote n° 273 : Comme noté dans la légende de l’image où l’on voit la boîte de la version Saturn, Worms est mon dernier jeu à vraiment marcher sur ma Saturn.

Anecdote n° 274 : La légende de l’image où l’on voit les vers nommés « Adolf Hitler » et « Sodding Insane » (parodie de Saddam Hussein) reprend la scène la plus connue du film Inglourious Basterds où l’on voit Hitler taper sur une table tout en criant six fois successivement « Nein ! ». La citation dans la légende ne le dit que cinq fois, du fait que j’ai toujours cru jusqu’à maintenant qu’Hitler ne le prononçait que cinq fois dans la scène. J’ai notamment été induit en erreur par le nom de certaines vidéos qui m’ont fait découvrir cette séquence, comme la parodie mélangeant les « Nein ! » d’Hitler au mème « It’s over nine thousand! ».

Retour des vacances et Dragon Quest XI :

Anecdote n° 275 : Au vu de la taille de la review, et bien que ce soit un avis plutôt qu’une critique à proprement parler, cet article est d’une certaine manière le tout premier à contenir le format des micro-critiques.

Anecdote n° 276 : Ce contenu est le tout premier à combiner deux concepts d’articles différents en un seul article.

Anecdote n° 277 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé par Square Enix.

Anecdote n° 278 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé par Armor Project.

Anecdote n° 279 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu ayant deux développeurs différents.

Anecdote n° 280 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé à la fois par Square Enix et à la fois par Armor Project.

Anecdote n° 281 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu publié par Square Enix.

Anecdote n° 282 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par Square Enix.

Anecdote n° 283 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par la même entreprise.

Anecdote n° 284 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2018.

Anecdote n° 285 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 4.

Anecdote n° 286 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo Switch, à travers le futur portage Dragon Quest XI S sur celle-ci.

Anecdote n° 287 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu de rôle.

Anecdote n° 288 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu avec des contenus téléchargeables.

Anecdote n° 289 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’un jeu sans spoiler.

Anecdote n° 290 : La critique de Dragon Quest XI fut ma première à parler d’une pétition.

Anecdote n° 291 : La seule version du jeu à laquelle j’ai pu jouer avant de réaliser la critique était la version PlayStation 4.

Mon avis sur Dragon Quest XI :

Anecdote n° 292 : Cet article est l’équivalent sur Le Royaume de Mortamon de l’article du retour des vacances et de Dragon Quest XI sur le blog principal. Il coupe toute la partie news pour ne parler que de Dragon Quest XI. De plus, l’article reprend le style des MortaCritiques en ayant son condensé des points positifs et des points négatifs du jeu.

Anecdote n° 293 : Cet article est mon tout premier à n’être rien d’autre que le partage de mon avis.

Micro-MortaCritique - Fallen Princess :

Anecdote n° 294 : La critique de Fallen Princess fut mon tout premier contenu spécialement sorti pour Halloween.

Anecdote n° 295 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu qui n’est désormais plus jouable.

Anecdote n° 296 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu développé par Ambition.

Anecdote n° 297 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu publié par Ambition.

Anecdote n° 298 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu développé et publié par Ambition.

Anecdote n° 299 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement sur mobile.

Anecdote n° 300 : La critique de Fallen Princess fut ma première à parler d’un gacha game.

Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 301 à 375.

mercredi 6 février 2019

Blogs et autres - MortAnecdotes 151 à 225


Attention, ces anecdotes révèlent les contenus de certaines de mes créations, ne les lisez pas si vous n’avez pas d’abord lu les contenus liés.

Lien vers les anecdotes précédentes : Blogs et autres - MortAnecdotes 76 à 150.

Anecdotes sur les critiques (suite) :

Rayman :

Anecdote n° 151 : Les seules versions de Rayman auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PlayStation, et Nintendo DSi. J’ai également joué à Rayman Forever (la version disponible chez GOG), Rayman Advance sur Game Boy Advance et Wii U, Rayman Classic sur Android ; ainsi qu’au portage du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. J’ai aussi brièvement testé Rayman Plus, qui est réalisé par les fans.

Anecdote n° 152 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu rétro.

Anecdote n° 153 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en version physique.

Anecdote n° 154 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu disponible en dématérialisé.

Anecdote n° 155 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui dispose de versions différentes.

Anecdote n° 156 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu qui n’est désormais plus disponible, à travers Rayman Classic qui n’est plus accessible depuis juillet 2018.

Anecdote n° 157 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable à un joueur.

Anecdote n° 158 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu jouable exclusivement avec un seul joueur.

Anecdote n° 159 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu sorti sur MS-DOS, à travers le portage du jeu sur le système.

Anecdote n° 160 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Digital Eclipse, à travers le portage Rayman Advance.

Anecdote n° 161 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Gameloft, à travers le portage Rayman Ultimate.

Anecdote n° 162 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Junglevision Software, à travers le portage sur Nintendo DSi.

Anecdote n° 163 : La critique de Rayman fut ma première à parler d’un jeu développé par Ubisoft Paris, à travers le portage Rayman Classic.

Anecdote n° 164 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une excellente note à un jeu.

Anecdote n° 165 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une très bonne note à un jeu, à travers la plupart de ses portages et de ses compilations.

Anecdote n° 166 : La critique de Rayman fut la première où j’ai attribué une bonne note à un jeu, à travers le portage Rayman Classic.

Anecdote n° 167 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un chasseur est une parodie du célèbre virelangue qui commence par « Un chasseur sachant chasser ».

Anecdote n° 168 : La légende de l’image où l’on voit Rayman se faire attaquer par un homme de pierre qui tire un projectile d’énergie fait référence au Hadouken, la célèbre technique emblématique de Street Fighter.

Anecdote n° 169 : La légende de l’image où l’on voit Rayman couper les cordes avec ses cheveux fait référence au mème In Soviet Russia. Celui-ci consiste à inverser tout ce qui est possible, et ce dans le cadre de la Russie Soviétique.

Anecdote n° 170 : Le mème Git Gud est référencé dans la partie qui parle du game over dans le jeu.

Anecdote n° 171 : La légende de l’image du game over fait référence au célèbre « GAME OVER YEAH! » de Sega Rally Championship.

Anecdote n° 172 : Marine-La-Trompette et son désir d’expulser les étrangers en leur soufflant dessus sont une parodie de Marine Le Pen, et notamment des plaisanteries concernant son programme anti-immigration.

Anecdote n° 173 : Joe Cheminade l’extraterrestre est une parodie de Jacques Cheminade, et notamment des plaisanteries concernant son programme de conquête spatiale.

Anecdote n° 174 : Le slogan « Pour une France forte du cul ! » est une parodie de celui de Sarkozy, « La France forte », et est très semblable à de nombreux détournements qui existent déjà.

Anecdote n° 175 : La capture d’écran où l’on voit une représentation de Rayman sur un mur est issue de cette vidéo où l’on peut voir Marine Le Pen dans la rue.

Anecdote n° 176 : La phrase « I could break the president in two with my bare hands! » et l’image allant avec qui parodie l’un des messages des développeurs sont issues du jeu Metal Gear Rising Revengeance. Il s’agit d’une des nombreuses fameuses phrases du sénateur Steven Armstrong, qui apparaît d’ailleurs sur l’image.

Anecdote n° 177 : « Nanomachines, son ! » est un mème de Metal Gear Rising Revengeance et est la phrase la plus connue du sénateur Armstrong.

Anecdote n° 178 : La légende de l’image de Rayman Designer avec sa phrase « I was Super Mario Maker before it was cool! » fait référence à une catchphrase anglo-saxonne qui parodie les hipsters.

Anecdote n° 179 : Le choix de considérer Rayman Classic comme le « 9 001ème » retour est en référence au mème « It’s over nine thousand! » Ce mème est issu de Dragon Ball Z, et plus particulièrement de la scène où Vegeta annonce d’une voix exagérée le niveau de puissance de Son Goku qui est au-delà de neuf-mille. La réplique était en plus pauvrement traduite, puisque l’originale annonçait que le niveau de puissance de Goku était au-delà de 8 000, et non pas « au-delà de neuf mille ».

Anecdote n° 180 : L’image finale où l’on voit Mr. Dark dans l’adaptation Game Boy Color et la légende « See you soon… » est un indice concernant une future critique.

Anecdote n° 181 : La phrase « See you soon… » est en référence à l’apparition cachée de Mr. Dark dans le générique de fin de la version Jaguar du jeu où il disait cette même réplique ; ce qui sous-entendait que Mr. Dark allait revenir dans un futur jeu. Cette citation va donc très bien avec l’annonce de la future critique.

TimeSplitters – Critique :

Anecdote n° 182 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler exclusivement d’un seul jeu, sans portages ou quelconques autres versions, extensions, ou jeux supplémentaires, etc.

Anecdote n° 183 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à une plateforme.

Anecdote n° 184 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement sur console.

Anecdote n° 185 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti sur PlayStation 2.

Anecdote n° 186 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu exclusif à la PlayStation 2.

Anecdote n° 187 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu développé par Free Radical Studios.

Anecdote n° 188 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu édité par Eidos Interactive.

Anecdote n° 189 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu de tir à la première personne.

Anecdote n° 190 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu sorti exclusivement en version physique.

Anecdote n° 191 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à la fois en solo et à la fois en multijoueur.

Anecdote n° 192 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable à plusieurs joueurs.

Anecdote n° 193 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu jouable en coopération.

Anecdote n° 194 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut un éditeur de cartes.

Anecdote n° 195 : La critique de TimeSplitters fut ma première à parler d’un jeu qui inclut une quelconque forme de personnalisation.

Anecdote n° 196 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j’ai utilisé de la rage pour me moquer de quelques défauts graves du jeu.

Anecdote n° 197 : La critique de TimeSplitters fut ma première où j'ai parlé de bugs notables.

Anecdote n° 198 : La légende de l’image du défi d’escorte de Spaceways reprend un gag fréquemment utilisé par le vidéaste Benzaie qui consiste à ajouter un « /20 » après un mot, comme si ce mot exprimait une note.

MortaCritique - TimeSplitters :

Anecdote n° 199 : La MortaCritique de TimeSplitters fut la toute première critique sur Le Royaume de Mortamon.

Anecdote n° 200 : La critique de TimeSplitters fut la première à être adaptée en MortaCritique.

Anecdote n° 201 : La MortaCritique de TimeSplitters fut ma première critique à ne pas utiliser d’images. Cela est néanmoins temporaire.

Command & Conquer – Critique :

Anecdote n° 202 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu développé par Westwood Studios.

Anecdote n° 203 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu publié par Virgin Interactive.

Anecdote n° 204 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’extensions.

Anecdote n° 205 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu de stratégie en temps réel.

Anecdote n° 206 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 1996, à travers les portages sur Macintosh, Saturn et PlayStation, et à travers Command & Conquer Opérations Survie.

Anecdote n° 207 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2006, à travers la compilation Command & Conquer The First Decade.

Anecdote n° 208 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2007, à travers la compilation Command & Conquer Saga.

Anecdote n° 209 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti en 2012, à travers la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.

Anecdote n° 210 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu sorti sur Nintendo 64, à travers le portage du jeu sur celle-ci.

Anecdote n° 211 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran.

Anecdote n° 212 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser mes propres captures d’écran en plus de quelques images ne m’appartenant pas.

Anecdote n° 213 : La critique de Command & Conquer fut ma première à utiliser un GIF.

Anecdote n° 214 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu d’action et de stratégie, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.

Anecdote n° 215 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement multijoueur, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.

Anecdote n° 216 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu avec de l’online, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor.

Anecdote n° 217 : La critique de Command & Conquer fut ma première à parler d’un jeu exclusivement en ligne, à travers le spin-off Command & Conquer Sole Survivor. Du moins, si l’on ignore le tutoriel qui se joue en solo.

Anecdote n° 218 : Les seules versions de Command & Conquer auxquelles j’ai pu jouer avant de réaliser la critique du jeu étaient les versions Saturn, PC, ainsi que les portages du jeu sur le PlayStation Store de la PlayStation Portable et de la PlayStation 3. La version PC en question est Command & Conquer Gold Bundle. J’ai également pu jouer à la version PC du jeu dans la compilation Command & Conquer The Ultimate Collection.

Anecdote n° 219 : La critique de Command & Conquer fut ma première où j’ai utilisé un nom personnalisé dans le jeu, comme le montre la capture d’écran où l’on voit « SAINTEPRUNE » dans les meilleurs scores. Ce nom est encore en référence à mon gimmick de la Sainte Prune.

Anecdote n° 220 : D’autres noms auraient dû être utilisés parmi les meilleurs scores figurant dans les captures d’écran de la critique. Certains étaient volontairement très inappropriés et ridicules, et devaient alimenter la critique avec quelques blagues (principalement d’humour noir). Les plus offensantes devaient être causées notamment par Marty. Parmi ces noms, on peut trouver par exemple « MORTAMON » ; « MERCI !!!!! » ; « JEVOUS AIME » ; « RAYMAN » ; « GENERAL » ; « PINGAS » ; « COMEGETSOME » ; « KAMOULOX » ; « FUCK » ; « NIKTAMER » ; « SIEG HEIL » ; ou encore « HEIL HITLER »... Je vous l’avais bien dit que c’était vraiment inapproprié ! Ils ne furent pas intégrés par manque de pertinence, et parce que certains sont potentiellement utilisables plus tard dans un contexte plus favorable. La majorité d’entre eux peut être vue parmi mes captures d’écran sur des sites comme Pinterest.

Anecdote n° 221 : En dehors de la plaisanterie extrêmement inappropriée de Marty, les noms liés à Hitler devaient faire référence à une certaine publicité controversée du jeu où l’on voyait que les précédents meilleurs scores établis dans le jeu appartenaient à certains dictateurs comme Hitler. D’ailleurs, cette publicité avait principalement fait scandale de par la présence du président Jacques Chirac parmi ces dictateurs. Sa présence était justifiée par une polémique de l’époque au sujet des essais nucléaires français, et probablement par une certaine volonté provocatrice. Je les ai finalement jugés insuffisamment pertinents dans le cadre de cette critique, et ils n’ont donc pas été intégrés à celle-ci, tout comme la pub.

Anecdote n° 222 : Du fait de la présence de son nom parmi les noms des scores annulés, le Général est donc mon premier personnage à avoir publiquement une quelconque forme d’apparition à travers de la personnalisation dans un jeu vidéo.

Anecdote n° 223 : Le nom « PINGAS » parmi les noms des scores annulés est en référence au mème éponyme issu de l’épisode Boogey-Mania du cartoon Adventures of Sonic The Hegdehog. Ce mème correspond à une phrase mal prononcée et mal entendue dans le dessin animé venant du personnage de Robotnik. La phrase était « Snooping as usual I see », mais le « ping as » fut prononcé de telle sorte qu’il s’entend presque comme « penis »... mot anglais que je n’ai absolument pas besoin de vous traduire. Le mème est à ce jour l’un des plus classiques, et l’un des plus utilisés dans les YouTube Poop.

Anecdote n° 224 : La phrase « COMEGETSOME » parmi les noms des scores annulés est en référence à la phrase la plus célèbre du Commando qui vient justement du premier Command & Conquer.

Anecdote n° 225 : Le nom « KAMOULOX » parmi les noms des scores annulés est en référence au jeu télévisé parodique créé par Kad et Olivier. Le jeu consistait en une joute verbale complètement absurde entre deux joueurs, et qui se terminait à chaque fois sur l’un des adversaires criant « Kamoulox ! » L’interjection est désormais régulièrement utilisée pour ponctuer des phrases complètement loufoques. Ce nom allait donc très bien avec les autres, qui formaient un ensemble bien improbable.

Lien vers les anecdotes suivantes : Blogs et autres - MortAnecdotes 226 à 300.

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